[ce que j'écoute pendant que j'écris]

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Arrêter. Je n'en peux plus. Je sais mais je ne dirai pas pourquoi. Est-ce que..est-ce que je suis vraiment obligée ? Obligée de. Obligée pour. Obligée parce que. Toujours des raisons, qui s'accumulent sans me laisser le temps, la possibilité, la volonté de choisir. Je ne suis pas ce que vous pensez, je ne sais pas. Je ne pense pas. Je ne penserai jamais pour vous. Mes mains, mes ongles, mes phalanges, tout ça...est-ce que je dois les utiliser pour vous faire plaisir ? Ma bouche doit-elle être qu'un pauvre masque distribuant bonheur et prospérité sous formes de mensonges doux et sucrés ? Je ne sais pas, je ne veux pas savoir. J'en sais trop. Mon regard voit alors qu'il ne voudrait pas. Les encouragements des muets me sont plus gratifiant que ceux des crieurs. Pourtant, je n'entend que des plaintes. Ca me déchire. Toujours distribuer de la confiance alors que je n'en dispose à peine. Soupirer discrètement pour ne pas faire envoler les espoirs qui me sont placer dans le creux de ma poitrine. Stopper tout. Retour en arrière, pause.  Faîtes quelque chose. J'ai une solution pour que tout soit comme tout le monde le voudrait mais. Mais voilà. 

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"La quiétude que nous éprouvons lorsque nous sommes seuls, cette certitude de nous-mêmes dans la sérénité de la solitude ne sont rien en comparaison du laisser-aller, du laisser-venir et laisser-parler qui se vit avec l'autre, en compagnie complice..."

Déjà, merci. Je l'ai dis et re-dis et re-re-dis mais je m'en fiche, je veux te dire tout d'abord merci. Tu sais faire envoler mes larmes comme tu peux les faire couler. Mais je crois que c'est hyper important de le préciser car je trouve cela impressionnant d'être aussi à fleur de peau quand il s'agit de toi. As-tu un pouvoir mystique ? Quelle est cette capacité à me garder si captive alors que je n'ai que soif de liberté.

Je suis fière. Fière de moi, car j'ai pu -enfin- faire quelque chose de bien : connaître une personne féérique. Tu es comme les princes des contes des princesses, qui ne sortent jamais des coeurs même s'ils sont de l'autre côté de la Terre pour faire la guerre. Mais surtout de toi, toi et ton extraordinaire force démentiel qui essaye de faire de son mieux pour me faire plaisir.

Je suis heureuse. Heureuse que ça soit et personne d'autre. Toi qui puisse faire faire des bonds extraordinaires à mon coeur, qui peut le faire saigner et qui stop ma circulation sanguine juste avec quelques mots.

Je regrette. Je regrette pleins de choses mais. Mais je ne veux pas te dire que je te regrette car c'est faux, je regrette "moi". D'être où je suis, d'être ce que je suis.

Je ne pense pas que je puisse te considérer comme quelqu'un d'autre, ou même te comparer avec quelqu'un. Je ne sais pas pourquoi mais c'est simplement comme ça. Je ne peux pas être aussi calme avec toi, alors que je le suis avec les autres. Tu me stresses, me donne la chair de poule, me fait sourire, m'énerve, me saoule.. Tu peux me faire changer d'humeur en quelques secondes, tu me fais peur à pouvoir aussi facilement me manier.

Je parle de moi. Je me compare à une petite fille, mais j'ai toujours été comme ça. Celle qui est un peu gamine mais qui fait quand même la taille de la tour Eiffel. Je ne sais pas mais grâce toi..j'ai changé. Personne auparavent m'avait donné la possibilité d'être si utile, si serviable, si..tout. Alors que je ne fais rien pour. Tu me permets de me sentir mieux.

Tu illumines chacune de mes journées. Tu as réussir à mettre du sucre dans mon caractère imbuvable. Face à toi mes genoux plient alors que je suis censée ne m'être jamais abaisser devant quelqu'un. Tu me décris comme forte mais je ne le suis pas, au contraire. Ce n'est qu'illusion et sucrette. Tu me vois comme puissante, conquérante. Tu as faux.

J'ai peur. Je pleure. J'ai envie de me cacher. Mais tout cela c'est pour toi, à cause de toi, grâce à toi. Je ne pourrai jamais te dire ce que je pense complêtement, c'est un de mes défauts, je ne pourrai jamais totalement me confier. Je ne pourrai peut être ne jamais "t'appartenir". Je ne pourrai jamais t'expliquer correctement ce que je ressens pour toi. Mais je t'aime. Je t'aime fort, en passant par toutes les nuances d'Amour possible. Mais la mienne ne peut pas se définir, elle n'existe pas. Je l'ai inventé juste pour toi. Alors fais moi plaisir, reste juste toi pour que sa définition perdure dans le dictionnaire du temps.

[cette image n'a rien à voir mais je l'aime bien. 8D]

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Mes joues étaient souillées. Souillées d'eau qui ne venait pas du fleuve. 

Je reniflai sans pouvoir m'arrêter. Je n'avais pas prévu que j'allais paraître si pitoyable. Il me tendit un mouchoir. Un simple mouchoir, un mouchoir vert sentant la menthe. Ses yeux étaient fixés droits devant eux mais sa main était tendue dans ma direction. Je ne savais pas si je devais plus lui montrer ma faiblesse ou dresser une barrière entre nos deux mondes.. Je me suis contentai de prendre le tissu tendu. Dans sa veste trop grande pour moi, la distance entre les manches et moi était immense.

Le vent me lécha le visage, je respirai par la bouche, il s'engouffra dedans.

Je ne savais pas ce qui se passait mais je me sentais revivre. Pourtant, rien avait changé. Il était toujours à la même place, j'étais toujours contrainte de rester à la mienne. Malgré tout, abandonnée au silence, encouragée par un courant d'air frai, le courage coula dans mes veines. Sans que la destinée me pousse, je me leva et lui fit face. Je me m'y sur ses genoux sans lui demander son avis.

Il ne me repoussa pas, me regarde juste en souriant.

Mes lèvres tremblaient, je voulais l'ensevelir sous les questions que j'avais, volontairement, gardées dans un petit creux de ma tête. Je ne savais pas quoi faire, il me contrôlait...il me possédait. Je ne savais pas pourquoi je me retrouvai si proche de lui alors qu"il y'a quelques secondes je voulais courir dans la direction opposée... Je ne savais pas ce que je faisais les bras autour de son cou. Je ne savais pas pourquoi mon coeur ratait des pulsations. 

J'avais tout oublier.

"Je t'aime de tout mon coeur"

J'aimerai te chuchoter cette phrase au creux de ton oreille, mais non.
Je voudrai te le dire avant de t'endormir, mais non.
J'aimerai te le rappeler quand tu vas mal, mais non. 
J'aimerai que tu ne l'oublies jamais, au grand jamais, mais non.
Je veux te donner du bonheur quand tu l'entends, mais non.
Je veux que tu me le dises pour toujours, mais non.
J'aimerai te donner du courage par ses simples mots, mais non.
Je veux que tu penses à moi quand quelqu'un te dit ça, mais non.
Juste que la façon que je te le dise te soit inoubliable, juste que tu ne m'oublies pas. Ne pleure pas, je veux que. 

Aujourd'hui j'ai 16 ans

Je devrai remercier ma maman

De m'avoir permis de naître

Grâce à elle, j'ai rencontré mon Maître

Toi, qui me donne mes ailes.

Tes mots doux bercent mon coeur

Chacune de tes phrases font mon bonheur

J'aime quand tu me dis que tu tiens à moi

Ca me donne envie de t'avoir près de moi.

Quand tu me parles, j'ai l'impression de voler

Quand tu me boudes, le monde commence à s'effondrer

Tu contrôles mes sentiments

Même mon coeur, tu contrôles ses battements.

En ce jour de ma naissance,

J'aimerai te dire que tu es mon essence

Celle qui coule dans mes veines

Tu es juste mon essentiel.

Tu n'es pas le plus intelligent,

Mais tu restes le plus marrant.

Tu n'es pas un génie

Mais tu es une partie de ma vie.

Je tiens à toi, ma perfection

Ce que je ressens n'a pas de définitions.

Je t'aime

De plus en plus fort

Même peut être plus que la mort.

Je ne sais pas comment te remercier

Pour tout ce que tu peux m'apporter.

Alors mon Chéri,

Tout simplement MERCI.